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  • : ASSOCIATION IVOIRIENNE DES NATIONS UNIES
  • : L'Association Ivoirienne pour les Nations Unies (AINU) est une organisation de jeunesse qui a pour Unies a pour objectifsde:Sensibiliser l’opinion publique ivoirienne aux but et objectifs poursuivis par les Nations Unies, de créer des emplois décents et productifs pour les jeunes en collaboration avec les partenaires au développement, de promouvoir l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes, d'assurer un environnement durable, de collaborer avec d'autres organisations
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12 décembre 2012 3 12 /12 /décembre /2012 00:45

                              Les jeunes des Nations Unies planchent sur l’achèvement                                            des OMD et la vision post 2015

 

 

Les jeunes des cinq (5) grandes régions africaines réunis au sein du réseau ouest africain des jeunes leaders des Nations Unies pour l’atteinte des objectifs du millénaire pour le développement (ROJALNU-OMD), se retrouveront du 20 au 22 décembre prochain à Ouagadougou dans la capitale du Burkina Faso.

 Apporter leur  contribution à la réflexion du groupe d’experts mis en place par le Secrétaire Général des Nations Unies sur l’agenda des OMD post 2015,  est le leitmotiv autour duquel les jeunes se retrouveront.

 


DSC01436.JPGCe sont plus de 200 jeunes  venus des quatre coins du continent qui prendront part à ce 3e sommet qu’abritera la cité ouagalaise. Le thème retenu pour cette 3e édition est : « Contributions et réflexions des jeunes sur le cadre conceptuel  de l’agenda post 2015 ». Ce sera l’occasion pour les jeunes de faire un partage d’expériences des succès de la lutte contre le sida et une évaluation de la mise en œuvre des engagements pris par les jeunes lors du Sommet de Bamako , de démontrer leur leadership dans les efforts pour l’atteinte des OMD tout en apportant leur  contribution à la réflexion du groupe d’experts mis en place par le Secrétaire Général des Nations Unies, sur l’agenda des OMD post 2015. Les questions d’égalité de genre et l’autonomisation des femmes et des filles occuperont une place de choix lors de ce sommet.

En marge, des assises du sommet (communications, les travaux en ateliers et plénière), bien d’autres activités meubleront cette rencontre de la jeunesse africaine notamment un mini Fespaco sur les thématiques des OMD, des expositions artistiques ayant trait au thème de la lutte contre la pauvreté et le sida, et des visites.

Ce 3e sommet de la jeunesse africaine pour les OMD est placé sous le très haut patronage du Président de la République du Burkina Faso, Monsieur Blaise Comparé et bénéficie du soutien institutionnel des partenaires au développement dont la Commission de l’Union Monétaire Ouest Africaine(UEMOA) et ceux du système des Nations Unies que sont l’ONUSIDA, le PNUD, l’UNICEF, l’UNFPA etc.

Pour mémoire, il faut savoir que l’implication des jeunes dans l’atteinte des OMD remonte à 2004, date de la tenue du 1er sommet qui a eu lieu à Dakar au Sénégal, et  l’année suivante à Ifrane au Maroc. Ces rencontres et bien d’autres qui se sont tenues  ont permis aux jeunes africains de prendre la pleine mesure de leur responsabilité et du rôle qui est le leur dans l’atteinte des OMD.

En définitive, Le ROJALNU-OMD reste convaincu qu’encourager la participation des jeunes à la vie publique, aux politiques, aux programmes et aux services qui leur sont destinés aide à tirer pleinement parti du potentiel de la jeunesse et améliorer les perspectives de développement futur.

                                                                                                                                        SMB


photo d'archive: Les jeunes veulent pleinement jouer leur  rôle pour l'atteinte des OMD

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12 décembre 2012 3 12 /12 /décembre /2012 00:22

La prise en charge des personnes infectées pour l'objectif zéro décès


Ce 1er décembre a marqué la commémoration de la 25e journée mondiale de lutte contre le Sida en Côte d’Ivoire, à l’instar de la communauté internationale.


Dr Raymonde GOUDOU COFFIE 01 - Copi

 

Pour cette énième célébration, les autorités sanitaires de Côte d’Ivoire ont décidé de se pencher sur le cas des personnes infectées par le virus du Sida, d’où le thème « objectif zéro décès liés au VIH/SIDA ». Ce sous-thème découle du thème général « objectif zéro » décrété l’an dernier par le programme commun de Nations Unies sur le VIH/Sida (ONUSIDA) pour la période 2011-2015.

C’est la prise en charge des personnes infectées qui était à l’ordre du jour pour cette 25e journée après la campagne de prévention « zéro infection » menée en 2011. Cette décision s’explique par les chiffres du rapport 2011 de l’ONUSIDA, dont les estimations indiquent qu’en  Côte d’Ivoire, en 2010 le nombre de personnes vivant avec le VIH/sida était de 450 000, dont  220 000 femmes âgées de 15 ans et plus et 63000 enfants âgés de 0 à 14 ans. Au cours de cette même année, on enregistrait 36 000 cas de décès dus au VIH.

 

Ainsi depuis 2008, en terme de riposte, l’Etat ivoirien a rendu gratuit l’accès au anti rétroviraux (ARV) pour une population PPVIH estimée à 380 000 pour les plus de 15 ans, et à 29 000 pour les enfants. Ce qui a permis d’accroitre le nombre de personnes sous traitement ARV qui est passé de 72 011 en 2009, à 82 721 en 2010 puis à 93 000 en 2011. Bien qu’étant inférieurs aux projections, ces actions ont contribué à améliorer nettement le nombre de patients actifs sous ARV à 129 632.

 

Pour la consolidation de l’efficacité de son action en vue de l’atteinte de l’objectif zéro décès au VIH, le ministère de la santé et la lutte contre le sida a mise en place une stratégie qui prend en compte un schéma de traitement et des systèmes d’approvisionnement plus simples, plus abordables au plan financier et plus efficaces à travers une intégration plus importante des services de  traitement antirétroviral, de soins de santé primaires, de santé maternelle et infantile, de la  prise en charge de la tuberculose et de la santé sexuelle et reproductive.

 

En définitive, la lutte contre le VIH/sida requiert la mobilisation de tous qu’on soit du secteur publics, du secteur privé, de la société civile et partenaires au développement, les efforts doivent être conjugués davantage au cours de la campagne nationale de lutte contre le VIH durant l’année 2013 pour atteindre l’objectif « zéro décès liés au VIH ».

 

SBM

 

Photo : Dr Goudou Coffie Raymonde, Ministre de la sante et de la lutte contre le sida

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1 décembre 2012 6 01 /12 /décembre /2012 02:38

  ruban-rouge1.jpg M ESSAGE   POUR   LA   JOURNÉE   M ON DI ALEruban rouge1
     

          DE   LUTTE  CONTRE  LE   SIDA   2 0 1 2  

 

 

    

                                                 O b  j e  c t  i f :   z é r  o 

 


                                                                                                     Michel_Sidibe.jpg

 

 

Aux millions de personnes qui se sont réunies pour exprimer leur compassion et leur détermination à l’occasion de la Journée mondiale de lutte contre le sida, nous voulons transmettre ce message : « Votre sang, votre sueur et vos larmes sont en train de changer le monde ». Nous sommes passés de la détresse à l’espoir.


Beaucoup moins de personnes meurent aujourd’hui du sida. Vingt-cinq pays ont réduit les nouvelles infections de plus de 50 %. Je veux voir ces résultats dans tous les pays. Le rythme des progrès s’accélère. Il est sans précédent – ce qui prenait une décennie est désormais réalisé en 24 mois à peine.


Maintenant que nous savons qu’une intensification rapide et massive des programmes de lutte contre le VIH est possible, nous devons faire plus.


Mes amis, il ne nous reste que mille jours, avant l’échéance de 2015, pour atteindre les objectifs mondiaux de la riposte au sida.


Alors aujourd’hui, à l’occasion de la Journée mondiale de lutte contre le sida, renouvelons notre engagement en faveur de l’Objectif Zéro.

Zéro nouvelle infection à VIH

Zéro discrimination

Zéro décès lié au sida 


Michel Sidibé

Directeur exécutif de l’ONUSIDA

Secrétaire général adjoint des Nations Unies  



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23 novembre 2012 5 23 /11 /novembre /2012 15:19

DSC01408  DSC01403.JPG

 

Madame la Directrice,

Mesdames et messieurs les Représentants du système des Nations Unies

Mesdames et messieurs les encadreurs et enseignants,

Honorables invités,

Chers amis jeunes,

Le motif qui nous réunis ce matin en ce lieu est d ‘une importance capitale. Hier jeudi, nous célébrions la journée  de la paix. Aujourd’hui, nous nous retrouverons encore pour parler de paix, signe de haute portée pour dire que la paix cette denrée si rare en ce 21e siècle se doit d’être préservée.

 Mesdames et messieurs honorables invités nous, jeunes de l’Association Ivoirienne pour les Nations Unies, conscients de notre rôle dans notre société, avons décidé  d’apporter notre modeste contribution non seulement à la construction de la paix mais aussi à sa consolidation dans notre pays. Cela ne saurait se faire sans une prise en compte réelle des facteurs de paix notamment la transparence dans la gestion publique, le bien-être matériel et l’éducation pour ne citer que ceux là. Nous sommes tous concernés par les facteurs de paix : pouvoirs publics et simples citoyens,  entreprises et  managers, éducateurs et formateurs. Les premiers doivent mettre en place toutes les conditions pour assurer la paix. Les entreprises et managers doivent mieux orienter leurs investissements par rapport à leur rôle social et économique. Quant aux éducateurs, il est de leur devoir d’intégrer les facteurs de paix dans les programmes de formation afin de permettre à la jeunesse d’avoir une meilleure compréhension de la paix pour devenir des citoyens éclairés et avisés.

Nous pensons que Madame la Directrice l’a si bien compris en permettant la tenue de cette conférence ce jour au sein de son établissement. En outre, elle n’a ménagé aucun effort pour la tenue effective de cette activité par la mobilisation de toute son équipe de direction, ses enseignants et élèves. Madame la Directrice nous vous disons un grand merci pour votre disponibilité et votre présence aux cotés de vos enfants que nous sommes.

Nous ne saurions oublier nos partenaires du système des Nations Unies dont l’appui fort appréciable n’a jamais fait défaut. Leur forte représentation dans la salle est la preuve de leur implication dans la conduite de cette conférence. Nous souhaiterons toujours les avoir à nos cotés pour relever les défis à venir. Mesdames et messieurs des Nations Unies recevez nos chaleureux remerciements.

Je vais terminer mes propos en m’adressant à mes amis jeunes. Avec tous ceux que nous jeunes avons enregistré à notre passif lors des crises successives qu’a connu le pays nous devons non seulement revendiquer le titre d’Ambassadeurs de la paix et aussi en être des sentinelles. Notre avenir en dépend.  C’est pourquoi nous devons tous nous engager résolument sur la route de la paix.

Je vous remercie.

 

Fidèle A. Biaffri

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21 novembre 2012 3 21 /11 /novembre /2012 16:12

 

DSC01443.JPG DSC01411

 

Madame Etilé Philomène, directrice du lycée professionnel a reçu le « Prix Spécial ONUCI » pour son engagement à la consolidation de la paix. Le comité exécutif de l’AINU lui adresse ses chaleureuses félicitations et lui réitère ses sincères remerciements pour son engagement à la construction de la paix.

 

photo: Madame Etilé Philomène, directrice du lycée professionnel et commercial de                               Yopougon a mis tout en oeuvre pour que cette activité soit une réussite.

 


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21 novembre 2012 3 21 /11 /novembre /2012 15:45

 Plus de 300 élèves et étudiants  sensibilisés à la consolidation de la paix

 

 

 A la faveur de la journée des Nations Unies célébrée chaque année le 24 octobre, l’Association Ivoirienne pour les Nations Unies (AINU) a organisé une conférence-débat au lycée professionnel et commercial de Yopougon le 16 novembre dernier. La consolidation de la paix en période post conflit, tel était le thème développé au cours de cette conférence.

 

 

DSC01432.JPG DSC01470.JPG

 


L’AINU au cours de ses séances de formation et d’information a réunit les élèves du lycée professionnel  et commercial de Yopougon pour débattre du thème de la consolidation de la paix en période post-conflit. Une manière pour les initiateurs de cette rencontre de permettre à ces jeunes de se familiariser avec les concepts de « consolidation de la paix » et de « conflit », tout en identifiant les défis et enjeux liés à ces concepts en vue de renforcer leur conscience dans le rôle essentiel de la jeunesse dans la consolidation de la paix.

Avec une parfaite maîtrise de son sujet, la conférencière en la personne de Mme Djénéba Kouassi Dosso, coordinatrice des activités de cohésion sociale et de réconciliation communautaire à l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI), a d’entrée de jeu définit les notions de « consolidation de la paix » et de « conflit ». Selon elle, c’est l’ensemble des activités entreprises à la suite d’un conflit violent dans l’objectif d’instaurer une paix durable tout en évitant la reprise des hostilités. Pour ce qui est du conflit c’est une situation de désaccord de conflit, de mésentente, de différence d’opinions qui ne devrait pas être perçu de façon péjorative uniquement dans la mesure où le conflit peut être un élément catalyseur dans l’évolution d’une situation donnée .En outre, elle a analysé les facteurs inhérents au conflit depuis les parties en conflit jusqu’aux réponses possibles au conflit notamment la négociation, la médiation, l’adjudication voire la force.  

 

DSC01454.JPG

Par la suite, la conférencière a évoqué les voies de consolidation de la paix qui passent par une prise en compte des résultats de l’analyse de la situation conflictuelle, l’utilisation des opportunités pour agir sur les causes du conflit et aussi de l’implication des parties en conflit sous les bons offices de personnes ressources, d’institutions ou de bonnes volonté. La consolidation de la paix a-t-elle ajouté se déroule dans un cadre réunissant un certains nombre de facteurs comme la justice et la réconciliation vraie, la création d’espace de dialogue, la bonne gouvernance, la promotion de nouvelles valeurs, la mise en place de mécanismes de prévention et de gestion pacifique de conflit etc.

Quels rôles devraient être ceux des jeunes dans la consolidation de la paix ? A cette interrogation la conférencière a répondu que les jeunes devraient  entre autres exprimer leurs opinions dans l’ordre et la discipline sans recourir à une quelconque forme de violence. Aussi devraient-ils assumer leur rôle sans complexe tout en étant actifs dans des organisations de la société civile. Ainsi la promotion de vecteurs de rapprochement tels que le sport, les loisirs et la culture pouvaient être des moyens efficaces pour briser les barrières entre les jeunes. Pour se faire donc la conférencière à relever de nombreux  atouts dont disposent les jeunes pour relever les  défis de la consolidation de la paix. A ce sujet Mme Kouassi a mis l’accent sur le fait que la majorité de la population est constituée de jeunes et qu’ils devraient avoir des aspirations  et ambitions communes. Avec la facilité d’accès aux outils de communication modernes, la jeunesse devrait être porteuse de nouvelles visions étant l’avenir du pays. Avec une méthode participative, les élèves ont interagit avec la conférencière tout au long de la séance. Elle a terminé ses propos en interpelant les jeunes sur le fait que notre pays ne sera ce que sa jeunesse voudra qu’elle soit.DSC01433.JPG

Cette conférence a enregistré la présence de la Directrice du lycée professionnel de Yopougon, Mme Etilé Philomène qui n’a ménagé aucun effort pour que cette séance soit un réel succès. Il faut également souligner l’appui fort appréciable des partenaires dont le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), le Bureau de l’information publique de l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI) représenté par Mme Marie Irène Richmond  et la chaine de distribution Prosuma.

 

 

 

 

photo1: Mme Kouassi Djeneba Dosso a mené la conférence avec maestria

photo2: Mme Richmond a partagé également son expérience avec les jeunes

photo3: la conférencière a trouvé les mots justes pour sensibiliser les élèves

photo4: les élèves ont prêté une attention particulière à tout ce qui a été dit.

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21 novembre 2012 3 21 /11 /novembre /2012 15:31

           

              L’AINU offre du matériel d’hygiène au Lycée professionnel de Yopougon

 

 

Dans l’application du quatrième point au niveau de ses objectifs qui est celui de contribuer àimage-conf-6.jpg assurer un environnement durable, l’AINU a fait don de matériel d’hygiène au lycée professionnel de Yopougon.


Mus du souci de voir étudier leurs amis les élèves et étudiants du lycée professionnel de Yopougon dans un cadre sain, les jeunes de l’AINU ont offert du matériel d’hygiène au lycée professionnel de Yopougon. D’une valeur de plus de 100.000F, ce don est constitué de 20 balais à manche, 20 serpierres, 1 cartons de savons liquide, 24 papiers toilette et 400 sacs poubelle. A travers ce don l’AINU invite les élèves et étudiants à prendre soin de leur cadre d’étude mais surtout de leur cadre de vie en général. La bonne santé étant un facteur déterminant dans la poursuite des études.  Car un esprit sain dans un environnement malsain, c’est une combinaison qui ne marche pas comme le dirait l’autre.

 

photo: le matériel recu par Mme la directrice permettra d'assainir l'environnement de travail des élèves du lycée

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21 novembre 2012 3 21 /11 /novembre /2012 15:19

                                             L’AINU étend sa toile


 Couvrir le territoire national d’ici à l’horizon 2014, tel est l’objectif que s’est assigné le  bureau exécutif de l’AINU en termes de représentativité. Mission certes titanesque, mais pas impossible. C’est dans cette optique que l’AINU a procédé à l’installation de la section du lycée professionnel de Yopougon le vendredi 16 novembre 2012 au sein dudit établissement.

image-conf-2.jpg

Composé de dix(10) membres, ce bureau est dirigé par Mlle Bosson Akoua Sylvie, étudiante en 1re année de secrétariat bureautique. La présidente et les membres de son bureau se sont engagés à être de dignes représentants de l’AINU au sein de leur établissement. Par ailleurs ils ont promis contribuer à la promotion des principes et idéaux de l’association dans leur vie de tous les jours. Ils ont également souhaité un minimum d’encadrement et d’appui dans la conduite de leur jeune bureau. Les responsables de l’AINU ont promis leur apporter le soutien nécessaire s’il le faut avec le soutien de nos partenaires au développement. Dans un premier élan d’appui le bureau de la section a reçu un lot de documents d’information sur l’association et les Nations Unies. Ce qui lui permettra de s’imprégner véritablement dans ses nouvelles missions. Le premier défi que devra relever la nouvelle section est celui de faire adhérer le maximum d’élèves et étudiants car tout le monde et chacun à sa place à l’AINU à l’image des pays du monde qui siègent au Nations Unies.

Signalons que la promotion du genre l’une des missions de l’AINU a été de mise au cours de cette installation de section, la présidence et la vice présidence étant assurées par des dames. Bon vent à la nouvelle section !

 

image-conf-1.jpg

 

photo1: Mlle Bosson Akoua Sylvie, présidente de la section AINU du lycée professionnel de Yopougon et son adjointe

 

photo2: le bureau de la section au grand complet avec le président AINU, Fidèle Biaffri


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21 novembre 2012 3 21 /11 /novembre /2012 14:47

Les élèves explorent l’univers du système des Nations Unies

 

 

DSC01473.JPGEn marge de la conférence-débat sur la consolidation de la paix, les élèves et étudiants du lycée professionnel de Yopougon ont testé leurs connaissances sur l’univers des Nations Unies.

 

Un jeu-concours dénommé « crack pour la paix » a opposé deux équipes qui se sont affrontées à travers un jeu de questions-réponses sur le système des Nations Unies et leurs activités ici en Côte d’Ivoire et dans le monde. Ce jeu a permis de savoir que les élèves avaient une assez bonne maitrise du système des Nations Unies en général. Ce fut également  de renforcer leurs connaissances sur certains points.

A l’issue de ce jeu, les vainqueurs(en bleu) et les vaincus (en orange) sont repartis les bras chargés de présents grâce à nos partenaires que sont l’ONUCI et le PNUD. 

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photo: Les élèves du lycée professionnel ont fait montre de leur connaissance du système des Nations Unies

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12 octobre 2012 5 12 /10 /octobre /2012 18:43

foto jeune fille

Alors que les droits des filles sont bafoués tous les jours dans le monde, la communauté internationale a célébré hier, 11 octobre 2012 la Première journée internationale des filles.
« La Journée Internationale des Filles reflète la nécessité de mettre les droits des filles au coeur du développement, » affirme Anju Malhotra de la section Genre et Droits de l’UNICEF. Et pour cette première édition, l’organisation a souhaité concentrer son action sur la problématique du mariage précoce. Dans le monde, une jeune femme sur trois âgée entre 20 et 24 ans a été mariée avant l’âge de 18 ans. Mais plus encore, 23 millions d’entre elles l’ont été avant l’âge de 15 ans. Certaines zones du globe présentent des chiffres encore plus inquiétants : en Asie du Sud, 46% des jeunes femmes mariées de 20 à 24 ans l’ont été avant 18 ans, 37% en Afrique sub-saharienne, et 29% en Amérique latine et dans les Caraïbes.
Or, le mariage des enfants affecte davantage les jeunes filles que les garçons. Mariées, ces dernières sont privées d’enfance, mais surtout d’éducation. Elles sont également davantage exposées aux risques de violence et de sévices. « Le mariage des enfants entraîne souvent l’arrêt de la scolarité pour les filles. Dans les communautés où la pratique est répandue, épouser une fille lorsqu’elle est encore une enfant fait partie des normes et des attitudes sociales qui reflètent le peu de valeurs accordé aux droits des filles », affirme Anju Malhotra, de la section Genre et Droits de l’UNICEF.
Pour faire face à ce fléau, l’UNICEF a donc engagé depuis plusieurs années un travail de fond en partenariat avec les gouvernements, la société civile et les agences, ou encore les programmes des Nations Unies. Il s’agit de parvenir à activer divers leviers, le premier étant juridique. En effet, il existe une loi depuis 2006 interdisant le mariage des enfants. Mais de nombreux pays ne l’ont pas adoptée, celle-ci se heurtant aux traditions tant culturelles que religieuses des Etats. D’autres actions sont également à mener comme l’accès à la scolarité, et ce, même quand les filles sont mariées, ou encore à des services de santé sexuelle afin de leur permettre de bénéficier d'une information et des soins adéquats, et notamment en cas de violences conjugales.
Source : au feminin.com
Photo : des jeunes filles dont les conditions d’existence demeurent précaires malgré les efforts consentis
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